16 mai 2002 - 15 septembre 2002
Cette exposition permet de découvrir la lumière que François Crabit se plait à décliner en une infinité de nuances. L'encre, la mine de plomb, le crayon de couleur et le pastel lui permettent de jouer avec les transparences.
Son travail au pastel est comme il le dit »une superposition de couches de transparence » et lui permet de traduire les impressions les plus fugitives. Il imagine la nature en train de se réveiller. Il déclare qu’observer un paysage, c’est savoir le raconter. On ne dessine pas ce qu’on voit, on recrée la réalité. La pudeur le guide de même que le respect d’une intimité entre le spectateur et lui. Il ne met pas en scène les gens, il préfère les imaginer derrière une porte ou une fenêtre.
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